Albi,
17 juin. Le nombre et l'emplacement des haltes et stations à établir
sur la partie du chemin de fer d'Albi au Vigan, comprise dans le
département du Tarn, ont été, après enquête, définitivement
arrêtées
ainsi qu'il suit :
station de Saint-Juéry, halte des Avalats,
halte de Marsal, station de Fabas, station d'Ambialet, halte de
Courris,
station de Trébas.
Le propriétaire des forges des Avalats
pourra
demander à la Compagnie concessionnaire, aux conditions prévues par le
cahier des charges qui régit les chemins de fer du Midi,
l'établissement d'un embranchement
particulier pour le service de son
usine.
Le conseil général des ponts et chaussées
a approuvé
l'emplacement des stations et
des haltes tel qu'il a été soumis à
l'enquête. Reste l'acquisition des terrains qui sera subordonnée à
l'état de nos finances
Le11 avril 1906,les Avalats devientstationau
détriment
de Fabas, classée halte...
B.Vieux Connaissance du rail N° 3
La
construction des gares revenait à la Compagnie du Midi,ce qui explique
que leterrain prévuà
l'édification du bâtiment voyageur
soit
resté vierge...
du
moins quelque temps.
En 1914,
M. Olivier Joseph, entrepreneur aux Avalats prend la suite de
l'entreprise Chantelouze et construit une murette séparative entre la
plateforme
à l'angle
de la route de Cunac, face à
l'église Saint Benoît.
Celle-ci, démolie, a fait place à une maison
particulière
qui, comme la maisonnette, ne fraie pas avec les autres
constructions de la rue.
La plate-forme croisait à niveau
le "chemin du Port"
et la "Côte del Castel",
que les
habitants des Avalats voulant se rendre à Saint-Juéry ou à la
préfecture devaient gravir pour prendre, sur le plateau, le "Petit
Train" d'Albi à Alban.
Les trains de la
Compagnie du Midi, pour peu qu'on leur eût posé des rails, auraient
poursuivi
en direction de la halte de Marsal. 1917
BOIS DE CHAUFFAGE
A VENDRE 3.000 traverses voie de 0,60
en chêne, aux Avalats, à 4 kilomètres
gare Saint-Juéry (Tarn) .
Adresser demandes à M. G. Thermes avenue Lapérouse, Albi.
Il n'est pas précisé si les traverses en question avaient été
traitées à la très cancérogène créosote.
Il existait, en plus des deux autres (métrique et
normale) une voie étroite dans l'enceinte de l'usine de Saint-Juéry.
En était-il de même à l'usine des Avalats ?
La voie s'éloignait au sud-est, en contrebas de la route de Cunac.
1908
ON
DEMANDE bons maçons parementeurs, travaux chemin de fer, prix 0 fr. 60
l'heure et plus suivant capacité. S'adresser bureau de l'entreprise aux Avalats, par Saint-Juéry (Tarn).
Le public est prévenu qu'en exécution
de l'arrêté de Monsieur le Préfet du département du Tarn du vingt-et-un
juin mil neuf cent neuf et en conformité des articles 5 et 6 de
la loi
du trois mai mil huit cent quarante-et-un
sur l'expropriation pour
cause d'utilité publique, la notice descriptive du tracé, les plans
parcellaires et les tableaux indicatifs des immeubles dont la cession
est considérée comme nécessaire à l'exécution du chemin de fer d'Albi à
Saint-Affrique dans les communes de Saint-Juary,
Marsal, Villefranche
et Ambialet, ont été déposés aux Mairies des dites communes et y
resteront jusqu'au trente juin mil neuf
cent neuf inclusivement afin
que chacun puisse en prendre connaissance.
Un
procès verbal d'enquête est ouvert aux mêmes Mairies pour recevoir les
déclarations et réclamations qui seront faites pendant le même délai.
Après
ce délai, toutes pièces et observations seront remises à Monsieur le
Préfet, président de la commission d'enquête.
Que les travaux du chemin de fer d'Albi à
Saint-Affrique soient commencés le plus tôt possible principalement en
ce qui concerne la section d'Albi aux
Avalats.
1903
Ponts et Chaussées. — Notre compatriote M. Barrère, sous-ingénieur des
ponts et chaussées à Albi, sera attaché au service de la navigation du
Tarn
et au service des études
et travaux des lignes d'Albi à Saint-Affrique et de Carmaux à Vindrac.
1904 L'administration des ponts et
chaussées vient de soumettre à l'approbation du ministre
des travaux publics les pièces concernant
l'adjudication prochaine du deuxième lot du chemin
de fer d'Albi à Saint-Affrique (partie
comprise entre Saint-Juéry et Marsal).
Ce nouveau tronçon
de ligne s'étend sur une longueur de 10.000
mètres.
se glisse sous un portique avertisseur d'une hauteur limitée à 2,2 mètres, à 2,5 kilomètres.
1910
Rapport
de M. l'Ingénieur en Chef de la ligne d'Albi à Saint-Affrique.
La
ligne d'Albi à Saint-Affrique, par Saint-Juéry, et les vallons du Tarn
et du Dourdou, à été déclarée d'utilité publique par la loi
du 20 juin 1881
et concédée définitivement à la Compagnie du
Midi par la loi du 20 novembre 1883.
Le
projet de tracé et de terrassements a été approuvé par décision
ministérielle du 7 décembre 1885,
complétée par deux décisions
postérieures des 11 novembre 1890
et 2 février 1891.
La partie de la
ligne comprise dans le département du Tarn a été divisée en
6 lots pour son exécution.
Le
1er lot, compris entre Albi et Saint-Juéry, a été livré à
l'exploitalion le 24 décembre 1899.
Le
2e lot s'étend de Saint-Juéry à
Marsal sur une longueur de 8 kilomètres
environ.
UTM :31
T 439754 4864762
Une
décision ministérielle en date du 10 juin 1904,
a prescrit de scinder
en deux parties le projet du 2e lot : l'une qui s'étend de
Saint-Juéry
aux Avalats, forme le 2° lot proprement dit et l'autre, qui va des
Avalats à Marsal, forme le 2e lot bis.Les
travaux à l'entreprise du 2e lot (terrassements et ouvrages
d'art),
sont terminés.
Les
travaux du 2e lot bis ont été adjugés le 28 janvier 1908,
à M. Chantelauze,
entrepreneur,
moyennant un rabais de 18 fr. 1 % ; le
montant des dépenses, rabais déduit, s'élève à
1,215,132 fr. 25, y
compris une somme à valoir de 152,388 fr. 12.
Les
travaux ont été commencés le 1er avril 1908.
Ils sont actuellement en
pleine activité...
d'un tablier à poutrelles enrobées,
entre deux culées maçonnées.
Une buse prolonge l'ouvrage sous la route
élargie.
En 1881, M. l'ingénieur en chef Thouvenot avait
effectivement signalé les
difficultés et les dangers de la construction d'un chemin de fer dans
la vallée sinueuse et à flancs abrupts du Tarn, parce que l'obligation
de maintenir la voie au-dessus des plus hautes eaux conduirait à
attaquer sur un grand nombre de points des terrains de schiste
disloqués et corrodés à leur base, ainsi que des massifs de débris
provenant d'anciens éboulements
M.
Decomble,
alors ingénieur en chef directeur, avait insisté, avec toute l'autorité
de sa grande expérience, sur les éventualités d'accidents que
devait faire craindre une semblable situation et sur l'augmentation de
dépenses qui en résulterait nécessairement.
Il avait fait remarquer,
en outre, que cette vallée renferme très peu de population et qu'il n'y
existe presque pas de chemins, de sorte que l'arrivage des matériaux de
construction serait très difficile et que les stations se trouveraient
très peu accessibles pour les principales localités situées sur les
plateaux...
Des matériaux de construction, il en avait bien fallu
La plate-forme de la ligne d'Albi au Vigan enjambait le cours d'eau
sur un très probable tablier à poutrelles enrobées.
... 1881
Effectivement il n'existe pas actuellement
de chemin dans la
longueur de cette partie de la vallée du Tarn, et comme la rivière
vient battre alternativement le pied des talus escarpés de chacune des
rives, il est impossible de suivre d'une manière continue le fond de la
vallée, soit à cheval, soit même à pied...
Je crois
même que l'économie de 2 millions que vous prétendez réaliser dans les
frais de construction sera absorbée et au-delà, par les frais de
consolidation et d'entretien qu'occasionnera la voie dans la vallée du
Tarn.
C'est en présence de ces difficultés de
tracé qu'une décision
ministérielle, en date du 23 septembre 1878,
rejeta définitivement ce
tracé et ordonna la mise à l'enquête du tracé par Réquista et Valence.
Les ministres passent et les
décisions définitives, aussi.
1905
Le
Chemin de fer d'Albi à St-Affrique.
Le
service de construction a soumis à l'approbation de mon
prédécesseur l'étude d'une variante du deuxième lot ayant pour but de
maintenir constamment le tracé sur la rive gauche du Tarn, entre les Avalats et le souterrain
du Puech-Mergou, au lieu de lui imposer
deux traversées biaises de cette rivière.
Mais, après examen des
dispositions projetées, le conseil général
des ponts et chaussées, jugeant entièrement fondées les
critiques formulées par le service du contrôle, a été
d'avis de renvoyer le projet au service constructeur pour
être remanié complètement. Adoptant cet
avis, je viens
de renvoyer le dossier à MM. les ingénieurs du
service constructeur en
les invitant à se conformer aux indications formulées par le conseil
et à m'adresser de nouvelles propositions le plus promptement
possible.
"Par conséquent, conclut notre confrère, que nos amis de la vallée
du Tarn se rassurent, la ligne d'Albi à Saint-Affrique ne sera pas
abandonnée."
Ainsi soit-il !
Mais cela ne nous semble
pas ressortir
si clairement de la lettre du ministre des travaux publics.
Nous ne doutons pas de
la bonne volonté de M. Gauthier, encore
qu'elle apparaisse un peu platonique. Mais il est
une chose dont il
faut bien que nous doutions : c'est sa
durée. En admettant que
le ministère dont il fait partie dure jusqu'aux
élections, on ne peut
guère compter qu'il aille au-delà.
Et alors ?
Alors... qui nous garantit
que les promesses de M. Gauthier seront tenues par son
successeur ?
Quelle assurance avons-nous que les mêmes intérêts, les mêmes
influences, les mêmes intrigues qui ont failli, une première fois,
compromettre l'exécution de la ligne, ne renouvelleront pas
leur effort; et peut-être, cette fois,
avec plus de succès ?...
A la frontière entre les communes de Saint-Juéry et de Marsal,
... 1905
Rien ne
prouve qu'ils aient désarmé. Justement, la lettre même du ministre des
travaux publics nous apporte un sujet de défiance : c'est ce qui a
trait à l'approbation du deuxième lot bis "entre les Avalats
et le souterrain de Puech-Mergou".
Il y
a quelque
dix ans, si ce n'est davantage, que ce deuxième lot
est sur le chantier : à qui fera-t-on croire que tant
de temps soit nécessaire pour mettre sur pied un
projet de quatre à
cinq kilomètres susceptible de recevoir l'approbation ministérielle ?
L'histoire de ce deuxième lot n'est point un mystère.
Après avoir
reconnu certaines difficultés à l'exécution du tracé par la rive gauche du Tarn, l'administration prescrivit l'étude d'une
variante par la rive droite, avec "deux traversées biaises de
cette rivière". Cette étude faite, le projet n'est pas approuvé et
l'on
décide de revenir à la rive gauche. Nouvelles études,
nouveau
projet... nouveau refus d'approbation. Ni la rive droite, ni la
rive
gauche !
Où passera donc ce chemin de fer ?...
Rétrospectivement, on répond ni à droite ni à gauche, puisque le "chemin"
créé n'a jamais été "de fer".
entre les culées d'un ponceau édifié pour la voie d'Albi au Vigan.
... 1905
Sérieusement,
de qui se moque-t-on ? Puisque les deux variantes
possibles ont été
étudiées, qu'est-ce qui retarde la décision de l'administration et
l'approbation du ministre ? Il est vrai que, d'après la
lettre qu'on
vient de lire, M. Gauthier a invité les ingénieurs du service
constructeur à lui "adresser de nouvelles propositions le plus
promptement possible".
Mais nous savons ce
que promptement veut dire,
dans le langage des bureaux.
Il
appartient au ministre d'exiger que cette "promptitude" ne soit
pas une
vaine formule de style administratif. Si comme nous le croyons, il est
résolu à faire droit aux justes réclamations de nos amis de la vallée
du Tarn, qu'il obtienne des divers services — il le
peut — l'accord
sur un projet capable de recevoir son approbation ;
et qu'il inscrive
au prochain budget, par conséquent avant les électionsde 1906, une
dépense de nature à engager l'avenir sans retour possible.
à enjamber. A cette époque, bien des lignes construites en comportaient un plus grand nombre.
En 1953, alors que la plateforme se transforme peu à peu en route,
"La Vie du Rail" propose à ses lecteurs un article détaillé au sujet de ce que va devenir cette plateforme avec ses
tunnels, ses viaducs et ses nombreux murs de soutènement...
Partout ailleurs, ponts de
moyenne et grande longueur, parcours en corniche avec murs de
soutènement,
et surtout tunnels au gabarit de la voie unique,
la chaussée est rétrécie et ne permet pas aux lourds véhicules modernes de se croiser.
Aussi le
conducteur routier trouve-t-il avant de
pénétrer dans la section et tout au long du
parcours
toute une signalisation particulière. Il faut d’abord empêcher
les gros véhicules de pénétrer, aussi rencontre-t-on à l'origine le
signal d'arrêt absolu routier pour les charges
supérieures à 2 tonnes...
La départementale d'aujourd'hui, avec pas moins de panneaux de restrictions, enjambe, tout comme la plate-forme d'antan,
d'un ponceau.
Deux tunnels
se
trouvent sur la section, tous deux en courbe, l'un
de longueur voisine du km, l'autre plus court. Avant de les aborder les
signaux avancés routiers "Danger" et "Chaussée rétrécie" se
présentent ensemble. Puis, au moment même de pénétrer, un
panneau prescrit l'allumage phare-code de jour et
de nuit et l'arrêt du moteur en cas d'immobilisation, sinon
gare à l'asphyxie par l'oxyde de carbone dans ces longs
souterrains naturellement aérés avec lenteur. Les
signaux "Interdiction
de doubler" et "Limitation de vitesse à 20 km/h" achèvent de
renseigner les conducteurs. La route est assez fréquentée quoique
encore peu connue : la carte Michelin n° 80 en vente à l'été 1952 ne
la mentionnait pas encore. Deux voitures de tourisme se
croisent aisément dans les tunnels. Tandis que la RN 99 serpente sur
les cimes de l'Albigeois à la lisière nord
des Monts de Lacaune, et des rampes à 2
chevrons Michelin, soit de 70 à 120 pour 1.000, la
plate-forme prévue pour le rail, avec ses pentes
ne
dépassant pas 10
pour 1.000 et ses rayons de courbure au
moins égaux à 300 m. fait figure, malgré
son faible gabarit, de véritable autostrade. Peut-on
souhaiter que les travaux déjà exécutés ne soient que l'amorce de la
réalisation du parcours complet de St-Juéry à St-Affrique ? Les
touristes aimeraient ce chemin fait pour eux. Grand est
le nombre de Belges et de Suisses se rendant chaque
été à Lourdes et aux Pyrénées via le Puy et les Gorges du
Tarn.
Le premier de ces tunnels, reconverti à un usage routier,
"Des travaux très importants sont en cours d'exécution sur le deuxième
lot bis de cette ligne ferrée ;
au nombre de
ceux-ci se trouve un
souterrain, de près de un kilomètre de longueur, qui traverse la
presqu'île de Puech-Mergou,
formée par la rivière du Tarn un peu en
amont du village des Avalats".
Ce souterrain,
en courbe de chaque côté
de la montagne, a été attaqué par ses deux extrémités vers le
milieu de
l'année 1908.
La rencontre des deux galeries d'avancement s'est normalement effectuée
dans la soirée de samedi 9 octobre.
Cet ouvrage est
établi dans une
roche d'une dureté telle qu'il a été nécessaire d'employer pour
l'exécution du travail des perforatrices mécaniques actionnées par
l'air comprimé. Celui-ci est obtenu à l'aide d'une machine à gaz pauvre
installée à l'entrée du souterrain du côté d'Albi.
Le travail de
percement comportait de sérieuses difficultés d'ordre
pratique qui ont été aisément surmontées par M. Chantelauze,
entrepreneur des travaux, et par M. le conducteur des ponts et
chaussées, chef de section, chargé de la direction des travaux.
Un pas de plus
est donc fait vers la réalisation plus ou moins
lointaine, sûre dans tous les cas, d'une ligne qui intéresse au plus
haut point les habitants de notre région.
La galerie, longue de 965 mètres, aime se repérer,
même si aujourd'hui une appréciable lumière perce l'obscurité.
En félicitant
l'entrepreneur, M. Chantelauze, et M. le conducteur des
ponts et chaussées, chef de section, de l'entière réussite du percement
en question, nous émettons l'espoir que la représentation du Tarn fera
de nouveaux efforts pour que le ministre des travaux publics hâte la
construction de cette ligne.
Voilà quelque
chose qui serait autrement
apprécié de nos populations que les sophismes électoraux édités au nom
de la R. P.
Le
jugement d'expropriation des terrains destinés à l'établissement du
chemin de fer d'Albi à Saint-Affrique, partie comprise entre la sortie du tunnel de Puech-Mergou, près
Marsal, et le lieu dit Pouns, au delà d'Ambialet, a été rendu
par le tribunal civil d'Albi à la date du 21 août.
Par suite, les parcelles en question
sont définitivement expropriées. Le jury chargé de
fixer les indemnités se réunira dans deux mois environ.
On pense que les travaux pourront commencer l'année prochaine et que
leur exécution durera quatre années. Cette partie de la ligne d'Albi à
St-Affrique comporte la construction de deux tunnels, l'un à
Combe-Nègre, entre Marsal et Fabas et l'autre sous le château
d'Ambialet.
Une ligne est prévue d'Albi à
Saint-Affrique (76 kil.) La section comprise entre Albi et Saint-Juéry a
été mise en exploitation en 1889. Les
travaux de la partie qui fait
suite (entre les Avalats et Marsal)
sont à la veille d'être terminés.
1920 Partie située
dans le Tarn.
- La
section comprise entre Albi-Orléans et Saint-Juéry (9 kilomètres),
qui
formait le 1er lot, a été mise en exploitation le 24 décembre 1899 ; 2e lot
et lot bis (entre les Avalats et
Marsal). Les derniers travaux de parachèvement sont en cours.
En 1878, le
maire de la commune de Marsal, perdue dans la vallée du Tarn
- et aujourd'hui perdue tout court car fusionnée avec
Bellegarde - émet
le vœu que la ligne passe sur sa commune ; son rêve se réalisa grâce au
plan Freycinet qui prévoit le tracé d'Albi à Saint-Affrique par les
vallées du Tarn et du Dourdou.