L'AAPPMA
de Mirepoix (Miro-Peich : "Regarde le Poisson") vous offre 21 km de
rivière(sur l'Hers), 20 km de ruisseau et des
étangs qui feront la joie
de tous pêcheurs.
Les poissons les plus recherchés sur notre secteur sont : la
Truite, le
Saumon de fontaine, le Brochet et le Black Bass.
Dès ses premiers mètres, le "Chemin
des Filatiers" expose son histoire :
Histoire
d'une Voie Verte "Le Chemin des Filatiers"
Dès la fin du XIXème siècle, notre
territoire
bénéficie de l'ouverture de deux nouvelles lignes
de
chemin de fer : la liaison Pamiers-Bram en 1898, suivie de la liaison
Moulin-Neuf-Lavelanet cinq ans plus tard, permettant ainsi de rattacher
la vallée industrielle de l'Hers au réseau
ferroviaire
national. Jusqu'à sept trains circulent chaque jour...
30 juin 2010
En
compagnie du circuit de randonnée N° 2
" Le Quié" et du GR 7,
La Compagnie des Chemins de Fer
du Midi, chargée par
l'état de l'exploitation de la ligne, transporte des
marchandises aussi bien que des voyageurs ou du courrier. Les wagons
sont chargés de matières premières
(bois) et
de
produits
manufacturés (principalement du textile et des peignes en
corne)
pour
être exportés des contreforts
pyrénéens vers
l'axe du Lauragais.
Plus de deux cents usines et des
milliers
d'ouvriers font ainsi fonctionner l'économie locale de
draperie,
chapelleries, peignes... A partir de 1940, transport routier et
désindustrialisation réduisent progressivement
l'usage de
la voie. Le 16 décembre 1973, le train siffle une
dernière fois sur cette ligne.
le
prolongement de l'avenue Gilbert Fauré en provenance - entre
autre - du
lycée général et technologique de la cité
scolaire
de Mirepoix.
L'établissement
- et le quartier - possèdent leur
propre
accès
à la voie verte. Du
chemin de fer au chemin de
terre...
Les communautés de Communes du Chalabrais, du Pays de
Mirepoix,
et du Pays d'Olmes ont aménagé en 2006 l'ancienne
voie
ferrée en chemin de randonnée longue de 38
kilomètres. Le
nom de chemin
des filatiers,
désigne "celui qui vend du fil" et fait
référence
à l'activité textile, essentielle pour ce pays
pendant
des décennies.
Désormais
vous en êtes les nouveaux voyageurs... !
30 juin 2010
La signalisation,
qui en 2010 manquait encore d'assise,
Dans cette enceinte, en bordure de la D 65,
fléchée
Seniers,
coule la "Fontaine
de la
Grand Borde".
Ces fontaines
ont
été
construites selon les mêmes règles : elles sont
encastrées dans un talus ou un versant de colline,
généralement faisant
face au nord pour conserver la fraîcheur de l'eau et
empêcher la
pénétration des rayons solaires favorisant la
prolifération de végétaux
dans la fontaine.
L'eau
était puisée grâce à un
seau unique, restant à
demeure sur une pierre particulière à droite de
la margelle.
Actuellement, sept de ces fontaines sont accessibles par un sentier
balisé.
De l'autre côté de la départementale
626, une allée
rectiligne
traverse la Plaine du Chapitre et dessert la Baraquette près
de la rive
de l'Hers.
Installé
à l'origine sur un piton autour de son église et
de son château, le
village s'est développé vers l'ouest sur une
crête dominant au sud la
plaine de l'Hers. Cette situation privilégiée
permet de contempler un
panorama extraordinaire sur la chaîne
pyrénéenne, le château de Lagarde
ou encore le pog de Montségur. Roumengoux est
composé
du village et
de neuf hameaux dispersés possédant chacun sa
propre fontaine. En
effet, avant la distribution de l'eau courante, l'alimentation en eau a
toujours été un problème majeur en
milieu rural. Chaque hameau a alors
aménagé une source afin de palier ce
problème.
De
l'autre côté de la nouvelle D 626,
la déviation
permet de retrouver le remblai
sur lequel
l'ex-plate-forme
ferroviaire
s'en va surplomber une retenue
d'eau de création apparemment
récente.
-
route de l'Ambronne
- avant d'informer le randonneur
sur une partie de l'histoire
des lieux :
Appelé
autrefois Cazal des
Faures, le village
ne prit le nom de Moulin-Neuf qu'en 1877,
témoignant ainsi
de l'existence d'une installation de meunerie hydraulique
dès 1529.
Le barrage
(chaussée) procurait l'essentiel de la force motrice de ces
minoteries.
Moulin-Neuf
a été également au XXème
siècle la plaque tournante de deux orientations ferroviaires,
l'une
allant de Bram à Pamiers
et
l'autre bifurquant à
partir de Moulin-Neuf
pour aller jusqu'à Lavelanet.
La gare
servait de lieu de ravitaillement en eau et en
charbon pour les trains, à l'époque où
ces
derniers étaient à vapeur.
Le trafic donna un essor sans précédent
à la
commune durant une quarantaine d'années.
Les lignes de Pamiers à Limoux et de Bram à
Lavelanet poursuivaient en voie
unique vers
leurs prochaine
étape : la halte de Lignairolles.