Le goudron
poursuit son ascension qui l'amène à traverser
divers
affluents du ruisseau de Mècle.
Le
second de ses affluents descend directement du col de las Couches.
D'après le cadastre, un sentier assure la liaison entre la
route et le
chemin du col.
Quelques tours de roues sur un chemin
en provenance
des crêtes, ne permet pas de retrouver
la
planchette pyrogravée mais amène
à
constater qu'imédiatement à
côté du sommet de la
Favière se tient un autre col
géographique qui un jour pourrait revendiquer l'appellation !
A partir de quelles sources ont été
nommés ces cols intermittents ?
Ici, l'identification la plus sure restera celle de la piste du col de Layrac qui
serpente l'autre côté de la vallée du
ruisseau de Mècle.
Au-delà du col
de Favière,
la voie décrit un demi-cercle
en direction de l'ouest
en surplomb du ruisseau
de Peyremale.
Au-dessus de la source du cours d'eau, un col géographique faisant frontière entre les communes de Saint-Gervais-sur-Mare et de Mélagues
offre un espace plat favorable à la jonction de la piste avec
la D52.
INSTALLATION
CLASSEE POUR LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT
Le
publique est informé qu'une enquête publique se
déroulera à la mairie
de MELAGUES du 29 avril 2013 inclus au 1er juin 2013 inclus, sur la
demande présentée par la
société RAZ ENERGIE 2 en vue d'être
autorisée
à exploiter un par éolien comprenant quatorze
aérogénérateurs sur la
commune de MELAGUES
aux lieux dits "Ferrio" (9 mats) et "La Serre de la Lande" (5
mâts)...
Le chemin "d'aspect familier"
grimpe à un col géographique tout aussi familier : le col de la
Moutone, oublié sur ce
parcours.
La randonnée poursuit jusqu'à Marcou
où elle quitte le goudron.
Un chemin de crête
orienté au sud-ouest, traverse le col
dans l'axe du Mont-Marcou.
Le GR 71, en provenance des cols du Coustel et d'Albès
emprunte lapiste principale
pour progresser vers
le Mont Frech et le col de Féviès.
Au
sud, un premier PR appartenant au réseau vert, dessert les cols de la
Font et du Layrac, un second remonte depuis Plaisance par le col de la
Moutone.
Dans cet enchevêtrement de voies et de circuits,
il en est une qui marche 65 mètres sur la ligne frontière entre les communes de Saint-Geniès-de-Varensal et de Mélagues.
Le plus court chemin vers le col de la Bacoune
peut être évité, par la droite.
En direction de la Montagne de Marcou, la concentration du randonneur doit être concentrée sur la recherche du sentier qui plonge au sud
sur le col des Airolles.
L'exploitation
minière de houille divisée en deux concessions
indépendantes sur les
communes de St Genies de Varensal, Castanet le Haut et Rosis, est tout
d'abord un revenu complémentaire pour la population,
principalement
paysanne. Avec l'industrialisation du 19ème
siècle, être mineur devient un métier
à part entière. Les concessions
fusionnent et après avoir pris différents noms,
elles deviennent la
Concession de Plaisance et elle est rattachée à
la Compagnie des mines
de Graissessac.
Bien que
l'extraction du charbon se faisait principalement sur les communes de
Castanet le Haut et Rosis, la totalité de la production
était acheminée
jusqu'à Plaisance par une galerie appelée
"galerie de l'Espérance"
située sur les hauteurs du hameau. Plaisance
était l'endroit où l'on
trouvait les installations de surface les plus importantes pour le
traitement du charbon et son expédition.
Sur le site où vous vous
trouvez, l'ensemble des bâtiments nécessaires au
fonctionnement et la
commercialisation du minerais (centre de tri, traitement et
transformation du minerais en aggloméré, atelier,
lampisterie,
compresseur...) étaient regroupés. Les traces de
cette activité ont
pratiquement toutes disparues, les quelques bâtiments
réhabilités
autour de vous étant les seuls vestiges de ces
installations. Durant
cette période, Plaisance vécut un essor
économique important ;
on
pouvait trouver sur le hameau, une ligne de chemin de fer dont la gare
est encore visible ; une nouvelle route d'accès, une poste,
une école,
une nouvelle mairie furent construites, un hôtel, plusieurs
cafés, des
épiceries, un cordonnier, un marché
hebdomadaire..., virent le jour. A
l'arrêt de l'exploitation minière, le manque de
travail provoqua la
fermeture des commerces et la désertification de la commune,
ne
laissant que le souvenir de cette période faste et
prospère.
Ils
s'appelaient Antoine, Clément, Moïse, Valentin,
Joseph, Roger, Georges,
Francisco, Marie, Nelly, Carmen... Ils étaient mineurs de
fond ou
travaillaient en surface, commerçants (es) ou femmes de
mineur, ils
étaient d'ici ou des communes voisines ; venus d'Espagne, ou
de
Pologne, ils ont participé à l'histoire de la
commune ; par ce
mémorial, hommage leur soit rendu."
A hauteur d'un panneau
directionnel du Circuit "Haute vallée de la
Mare"
A
l'est de Plaisance, c'est un parcours
de santé sécurisé,
interdit à la
circulation des véhicules automobiles, deux roues
motorisées
et hippomobile,
qui
emprunte
la plate-forme
de l'ex-voie
ferrée.
Le
parcours de
santé "les
rives de la Mare"
quitte la commune de Saint-Geniès-de-Varensal pour celle de Rosis.
Cet espace sportif de détente
et
de promenade est ouvert à tous, il doit être
utilisé en toute sécurité par
les usagers et de ce fait certaines règles d'usages doivent
être
respectées.