13 - de la gare
de Canaules-Saint-Nazaire-Logrian à la gare de Lézan
Ancienne ligne des Mazes-le-Crès au Mas-des-Gardies
à
VTT
Évolution
du parcours entre les gares des Mazes-le-Crès et du Mas-des-Gardies



De la gare de
Canaules-Saint-Nazaire-Logrian à la gare de Lézan
: 5,4 km


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Photos
des 16 et 19 septembre 2019

Les convois 

en provenance de Quissac,
pénétraient sur l'emprise


puis se présentaient


à
quai


de la gare


de
Canaules-Saint-Nazaire-Logrian.
UTM
: 31 T 582288 4869927


Les trains ne prennent plus de passagers depuis
le 9 mars 1969 ce qui explique probablement


que les photos
aériennes
du 1er juin
1970 ne montrent qu'une seule voie


entre le bâtiment voyageur


et
l'abri de quai de la gare de
Canaules-Saint-Nazaire-Logrian.


Côté
cour,


"la gare"
est desservie par la
D 149.

Les convois passaient le PK 696,


longeaient la margelle d'un puits


et laissaient à droite la voie
de desserte 

de la halle aux marchandises. 

Ils poursuivaient en courbe légère

par-dessus un aqueduc perdu
dans la végétation.
UTM : 31
T 582384 4870255

La voie déferrée

sème quelques indices de sa présence

au travers

d'un manteau d'épineux.

Elle sautille un second aqueduc
UTM : 31
T 582400 4870453

sur un remblai

orienté au nord.

Un reliquat

de ballast

bute bientôt sur le grillage
de protection

d'un ex-pont-rail 

à structure
métallique
UTM : 31
T 582436 4870703

dont le tablier s'ouvre sur

le ruisseau de Bouffaro.

Le ballast

se trouve contenu

entre les parois
d'une tranchée

jusqu'à l'approche de la maisonnette
de garde-barrière

du passage à niveau (gardé !) de la
"voie communale N° 4 du Riniély à l'Eglise".
UTM : 31
T 582512 4870883

Le long d'un puits, puis

entre les garde-corps
UTM : 31
T 582519 4870899

de l'aqueduc voûté d'un
affluent du ruisseau de Riviély,

un remblai

caillouteux supporte un chemin

borné

et le dépose sur le tablier

d'un pont.

L'ouvrage maçonné,

voûté au-dessus

du ruisseau de Riviély,
UTM : 31
T 582648 4871049

fait frontière entre les
communes de Saint-Nazaire-des-Gardies

et de Canaules-et-Argentières.

Les trains,

en remblai au-dessus des vignes,

sifflaient

à l'approche,

et bientôt à la vue de La Mercouline.

Ils s'engageaient

sur l'arche
UTM : 31
T 582979 4871248

d'un ponceau


arqué sur un cours d'eau à
court d'eau dont le lit va confluer avec celui du ruisseau de Riviély.

Le ballast

s'étale encore le long du mur

d'enceinte

de l'ex-maisonnette de garde-barrière

du passage à niveau
UTM : 31
T 583097 4871310

de la Mercouline.

Une tranchée

longue de 325 mètres

dirige la voie déferrée

dans une modeste courbe

au sortir de laquelle

une fenêtre s'ouvre
sur le hameau de La Bauque.

La plate-forme se hisse sur un remblai

en surplomb

d'un chemin latéral

et enjambe

un ruisseau sans nom

sur la galerie

maçonnée
UTM
: 31 T 583456 4871522

d'un ponceau.

Tout près, le remblai

perd pied derrière un grillage

surplombant

le très ancien chemin de Durfort à Saint-Jean-de-Serres, quelque
peu incurvé au moment de la construction du chemin de fer.
UTM
: 31 T 583481 4871553

Au-delà du grillage planté sur la culée d'en face,

le ballast

tire presque droit

au nord-est

où il sautille

un discret

petit aqueduc
UTM
: 31 T 583569 4871702

maçonné, voûté.

Les trains

approchaient alors

du hameau de Bel-Air

et de la maisonnette

de garde-barrière

du passage à niveau

du "chemin de Canaules à Anduze".
UTM
: 31 T 583662 4871881

A l'issue d'une courte tranchée,

la voie déferrée

longe un dépôt de
matériel hétéroclite

et sautille un aqueduc
UTM
: 31 T 583730 4872036

au garde-corps pris de vertige.

Les convois parvenaient aux confins de la commune de Canaules-et-Argentières

et pénétraient sur celle de Lézan.
UTM
: 31 T 583749 4872104

Une épaisse végétation

et un grillage

défendent l'accès
UTM
: 31 T 583786 4872240

au tablier vermoulu d'un
ex-pont-rail

dont la structure

métallique

enjambe encore

un chemin de service.

La plate-forme

déferrée de la ligne de chemin
de fer des Mazes-le-Crès près de Montpellier

au Mas-des-Gardies près d'Alès,

s'engage bientôt 

sur la voûte d'un ponceau maçonné
dans la galerie duquel
UTM
: 31 T 583801 4872347

s'écoulent des eaux que le cadastre napoléonien, indécis, attribue à un "ravin" 

ou à un "ruisseau".

Les herbes folles,

le ballast

et les ronces

tapissent la voie 

qui monte paisiblement

le long d'un verger

puis en tranchée,

hectomètre après hectomètre,

en direction du nord.

La tranchée

de quelque 275 mètres

relâche sa pression

le long d'un terrain soutenu par un muret

sur lequel ne subsiste plus

que le puits de la maisonnette
de garde-barrière

du passage
à niveau du chemin de Trouillas.
UTM
: 31 T 583786 4873020

Les lotissements construits au sud-ouest

de
Lézan

restent coupés 

par la voie déferrée,

longée sur sa gauche par le chemin
de la Caladette.

Les trains

ne
traversaient pas à niveau le chemin de la Sauvette ;
UTM
: 31 T 583779 4873441

tout juste devine-t-on à cet endroit quelques traces de traversées à la sauvette
entre des champs

morcelés par la plate-forme
ferroviaire.

La
voie

se hisse sur un remblai

qui bientôt

fait place 

à un ponceau maçonné, voûté

au-dessus d'un "fossé".
UTM
: 31 T 583767 4873705

Le remblai amorce une courbe en direction de l'est

et du tablier renforcé

d'un ex-pont-rail

dressé au-dessus de la chaussée
UTM
: 31 T 583781 4873814

de la D 907,

route
d'Anduze.

Le remblai

poursuit son virage

au cours duquel il se pare
d'hélophytes à l'aplomb probable d'un aqueduc masqué par
la végétation.
UTM
: 31 T 583874 4874054

La voie déferrée

contourne le village par l'ouest

afin de mieux le desservir par le nord.

Les restes de ballast, déjà étouffés
par la végétation,

butent sur un grillage, face au tablier fuyant

de l'ex-pont-rail
UTM
: 31 T 583941 4874130

autrefois tendu au-dessus d'un
chemin devenu - forcément plus tard - "rue du 8 mai 1945".

Le tablier,
en seulement trois jours,

a poursuivi son escapade et disparu du paysage.

La plate-forme nouvellement déferrée

expose son ballast

qui rapidement

conflue

avec celui de l'ex-ligne du
Mas-des-Gardies à Saint-Jean-du-Gard.

Le tablier
égaré

repose près d'un amoncellement
de traverses,

sur la galerie voûté

d'un aqueduc maçonné.
UTM
: 31 T 584242 4874318

Les traverses
entreposées

face à la maisonnette de garde-barrière

du passage à niveau

de la D 24, ont attendu peu de temps de part et d'autre de la route

avant d'embarquer

dans des camions.

Les convois, eux,

s'avançaient

le long des toilettes

hommes-et-dames


sur la vaste emprise

de la gare

de
bifurcation

de
Lézan 

où ils étaient attendus de pied
ferme par le personnel.

Côté cour, le bâtiment voyageur

était desservi par les "boulevards
Lézanols" 

actuelle allée de la Gare.

Les trains repartaient

au nord-est


au travers de l'emprise de la station en direction de la halte de
Cardet.

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