à une altitude maintenant inférieure aux
300 mètres.
Plusieurs projets, plus
ou moins
utopiques de reconstruire cette voie à des fins touristiques
se sont
succédés. Aucun n'a pu voir le jour.
La
nature a repris ses droits : l'embroussaillement, la
prolifération des
pins maritimes et des acacias semés pour maintenir les
remblais, les
affaissements de terrain ont détérioré
les infrastructures.
Toutefois le CFD est toujours
présent dans
la mémoire des Cévenols.
Les souvenirs du tortillard et
les regrets
sont nombreux.
La route actuelle ne
suit pas
le tracé de sa prédécesseure. En son temps, la
N 107bis
décrivait*
un
arc de cercle
*ici à droite
à
l'écart de la voie
ferrée. Elle desservait au passage le lieu-dit La Maison
Rose.
La N 106
poursuit en
tranchée sous les restes dérisoires de l'ancienne
plate-forme ferroviaire reléguée sur quelque
70 mètres entre les talus des
deux routes.
Avant que l'ex-N 107 bis ne vienne confluer avec la N 106, la
voie
déferrée retraverse la chaussée
actuelle